LImpact Des Corridors Du Du Grand Mkong

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Foin Tau., 2017. Régionalisation et reconfigurations urbaines: La cité thaïlandaise de Chiang Rai. click through the following page -Diderot, Géographie, Paris, 109 p. 1En 1994, le gouvernement thaïlandais amorce un procédés de déconcentration au sein de l’objectif de réduire les disparités socio-économiques entre la Circonscription Métropolitaine de Bangkok (RMB) et la majorité des régions périphériques. Ce transfert de habiletés à l’échelle locale s’est effectué solidairement aux grandes techniques planifiées par ce programme de la Région de ce Grand Mékong (RGM). La RGM1, force par la Gousset Asiatique de Évolution (BAD), a spécialement développé, au travers d’une vision territoriale et sectorielle, l’accès des corridors économiques. Ces derniers, qui peuvent prendre diverses appellations selon leur classification, sont définis par Thein Swe et Paul Chambers (2011) comme des « couloirs touchant au commerce mondial constituant de tendance territoires supranationaux au sein desquels la majorité des infrastructures de trimbalement facilitent le évolution et la croissance économique des territoires, en reliant divers centres de résultat et de commerce ».


Si les détroit sont désignés tel que des outils d’intégration régionale du passe qu’ils transcendent les frontières et que ces derniers connectent les centres économiques des pays, ils ont parallèlement pour vocation, via leur capacité à capter les fuite de capitaux, du marchandises sans compter la individus, d’encourager le développement socio-économique des territoires traversés, principalement à l’échelle des villes. 2Malgré une abondante culture académique au seins des passages, peu d’études se sont intéressées à définir les dynamiques urbaines et socio-économiques induites par ces corridors à l’échelle locale. De ce constat, il peut semblé opportun d’analyser les interactions entre un corridor économique et une commune de taille norme disposant d’une situation stratégique. La agglomération de Chiang Partie, capitale de une province de même nom au Nord de la Thaïlande, fut retenue pour mettre en oeuvre cette recherche. 3En s’inscrivant dans cette continuité des recherches sur les localités asiatiques questionnant la vocation de la globalisation dans l’émergence «de nouvelles configurations intra-urbaines, réticulaires et d’échelle régionale » (Franck et Sanjuan, 2015), ce billet interroge un rôle structurant de corridor Nord-Sud dans l’échelle de commune de Chiang Partie, par le prisme de nouvelles dynamiques socio-économiques et urbaines.


Celui-là s’organise autour de quatre parties, derrière avoir défini la catégorie conceptuel sur les interactions villes/corridor celui-ci sera exposé successivement le processus d’internationalisation une ville, l’actuel reconfiguration urbaine articulée concernant le corridor Nord-Sud puis la nouvelle hiérarchisation des destinations provinciales et régionales. 4Bien que la majorité des concepts « d’intégration régionale » & de « circonscription » soient centraux dans cette investigation, les définitions qui leur sont attribuées et les diverses interprétations qui en sont faites, selon la discipline académique ou l’approche fréquentée, ne seront pas plus longtemps débattues dans de fait cet article. Province de Chiang Mai concentrer avant tout au seins des villes. 5Les passages économiques de une RGM, développés - cours de une paire de grandes phases de planification (1ère harmonie 1992, 2nde harmonie 2002), sont de nos jours au nombre de huit. Ce maillage aisera à relier l’ensemble des états & des centres professionnels de la région entre eux et d’intégrer un ensemble de pays, comme la Chine, à du nouveaux marchés touchant au commerce mondial.


L’approche des corridors, soutenue par la BAD, a généré une relation d’interdépendance entre certains outils d’intégration régionale et les villes. 3 La BAD classe quant dans elle les villes selon leur pensant aux spécificités économique sur les corridors. 6Les destinations n’ayant pas cette le même rôle ni le aussi poids économique et politique, plusieurs hiérarchies ont été pensées afin de les hiérarchiser. Ce géographe Christian Taillard (2009 et 2010) hiérarchise ces villes en quatre catégories selon leur(s) fonction(s) et leur stade d’intégration à l’échelle nationale et régionale3. Les têtes du réseaux et la majorité des nœuds principaux complotent le plus généralement l’ensemble des fonctionnalités économiques et politiques, à l’inverse, la majorité des nœuds secondaires et les villes relais ont été développés à travers une spécialisation du leurs activités économiques. 7Pour illustrer davantage cette classification, appliquons-la au corridor Nord-Sud. Celui-ci s’articule parmi deux têtes de réseaux, les métropoles de Kunming & de Bangkok. Celles-ci peuvent être considérées ainsi par à elles fonctions politiques mais aussi économiques à l’échelle du corridor mais aussi par leur degré d’intégration à l’échelle régionale et internationale.